Une Allemande et une secrétaire d'ambassade américaine s'éprennent des Dieux mexicains. « Ce qu'il y a de prodigieux dans L'Ange noir, comme dans Que viva Mexico ! [d'Eisenstein], c'est qu'en montrant des visages ébahis de joie et d'autres traversés par la souffrance, en révélant la marque insistante de la Mort et cette manière d'allier le Mexique d'aujourd'hui à celui d'hier, ......